La première phase des travaux d’aménagement de l’astéroïde Cérès vient de prendre fin. Un an après l’arrivée des premières équipes de construction et après trois rotation de personnels, chacune des rotation voyant son nombre augmenter de 25 % en personnel qu’en temps de présence sur place, Cérès vient d’être mis en rotation contôlée. Cette rotation permet au personnel de bénéficier d’une apesanteur artificielle : comme dans les SOL (Stations Orbitales Lagrange), les ouvriers, grâce à la force centrifuge, marchent à l’intérieur des parois externes du rocher qui a été creusé de nombeuses galeries circulaires er concentriques. Avec la mise en gravitation centrifuge, la plupart des galeries ont été préssurisées afin de permettre la finalisation de leurs aménagements. L’excavation des galeries à été accomplie avec la même technologie que le creusement du tunnel trans-méditerranéen, c’est-à-dire tunnelier nanoT par guidage laser.
La nouvelle équipe, forte de 60 personnes, qui arrivera à Cérès dans quelques jours aura pour charge les aménagements intérieurs des galeries. ces travaux amèneront les couloirs Cérès au même niveau de confort que les SOL. Ils signeront aussi la fin de l’utilisation des contenaires apportés depuis l’orbite terrestre par chaque équipe. Ils seront recyclés et intégrés aux nouveaux aménagements. A terme, ce sont 300 personnes qui pourront vivre et travailler à Cérès.
Ainsi, Cérès devient un nouveau maillon essentiel de la colonisation du système solaire. L’exploitation de Cérès à été cédé à un conglomérat privé avec la signature d’une première concession d’une durée de 30 ans. Le concessionnaire s’engage a assurer le SEMUS (Service Minimum Universel Spatial) : atmosphère, énergie, eau et accostage d’urgence.
A quelques centaines de millions de kilomètres du premier satellite désormais artificiel, à l’opposé de la ceinture d’astéroÏdes, la Chine vient, elle aussi, de se lancer dans ce que beaucoup nomme la nouvelle conquête de l’Ouest. Les secrets qui entourent les modalités et technologies misent en œuvre sur le projet chinois ne permettent d’évaluer l’ampleur de la future cité spatiale. Certains appellent déjà le futur satellite artificiel chinois la Cité Interdite, en référence à l’ancienne demeure des empereurs chinois.
© Olivier Parent – prospective.lecomptoir2.pro

2 mars 2009