L’agence européenne de sécurité des systèmes (ESSA, European System Security Agency) recommande à l’ensemble des citoyens la plus grande prudence dans l’utilisation des accessoires neuro-connectés (communication, perception augmentée, prothèses, sécurités et autres interfaces…). Cette annonce s’adresse particulièrement aux personnes ayant accès à des informations stratégiques.

Le directeur de l’ESSA à déclaré hier : “Nous devons considérer que le premier piratage de ces interfaces homme-machine soit avéré.(…) Il se serait produit sur la personne de Yassine Legrand, directeur général de Santel, dans le courant du mois d’août.”

Le groupe informatique Santel se refuse à tout commentaire. Mais une enquête indépendante laisse apparaître que, dans un premier temps, le dirigeant de la société ai été victime d’un espionnage assez conventionnel. Cette première étape a vraisemblablement permis aux hackers de trouver une faille dans les accessoires neuro-connectés de Yassine Legrand.

Une fois cette “porte” ouverte, les pirates ont eu accès à la plupart des bases mémorielles embarquées mais aussi à toutes les informations que les yeux augmentés de Mr Legrand ont vu.

C’est à ce point que les spéculations et les conjectures deviennent moins assurées. En effet, le Directeur Général de Santel ne semble pas être en mesure de faire avancer l’enquête. Mais ça n’est pas de la mauvaise volonté de sa part. S’il se souvient que durant cette période il ai pris certaines décisions stratégiques, bizarrement, il semblerait qu’elles lui soient parfaitement étrangères et : il ne parvient pas à identifier les processus de décision qui l’ont amené à faire ces choix.

A ce jour, un tel témoignage semble peut crédible. Cependant, un enquête plus approfondie pourrait bien réveler que , les pirates soient parvenus à “injecter” chez Mr Legrand des “impulsions décisionnelles induites” qui l’ont incité à valider des décisions comme si elles émanaient de sa propre volonté.

Pour bien comprendre ce mécanisme, il faut se souvenir que les commandes de prothèses ne passent pas que par seule volonté consciente. Certaines commandes sont plus directes, de l’ordre du réflexe : on ne demande pas à ses jambes de se tendre alternativement, on décide simplement de marcher. C’est une démarche impulsive et pas cognitive.
Il semblerait donc que les pirates, en utilisant les différents accessoires neuro-connectés de Mr Legrand, soient parvenus à mettre dirigeant sous l’influence d’une hypnose provoquée technologiquement.

Avant même d’être vérifiées, ces révélations donnent déjà lieu à de nombreuses inquiétudes dans le monde de l’entreprise mais également dans les domaines politiques et militaires. Toutes les entreprises et institutions de ces du secteurs, et en premier lieu Santel, se sont mobilisées pour développer des patchs correctifs. et les industriels de l’informatique utilisant des interfaces homme-machine garantissent que, rapidement, tous leurs accessoires seraient sécurises…
A n’en pas douter… Jusqu’à la prochaine faille…

4 oct. 2015